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Le burnout est défini comme un épuisement physique, émotionnel et mental, qui résulte d’un investissement prolongé dans des situations de travail exigeantes sur le plan émotionnel.
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Alors que les années étudiantes sont censées être les plus belles de notre vie, la santé mentale des jeunes de 18-24 ans n’est pas au beau fixe. Environ 30% des étudiants sont en détresse psychologique.
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En cause : la difficulté de concilier cours, révisions et jobs étudiants ; les incertitudes liées à son avenir professionnel ; le sentiment d’être sur-sollicité dans un monde hyper-connecté ; l’éloignement par rapport à son socle familial.
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Certains symptômes doivent vous alarmer : fatigue chronique, diminution de l’efficacité, troubles du sommeil et troubles anxieux, difficultés à se concentrer, irritabilité, perte de motivation, douleurs musculaires ou articulaires, problèmes de mémorisation…
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Pour s’en sortir, il faut en parler à ses proches, mais surtout à son médecin. Il pourra poser un diagnostic et proposer une prise en charge adaptée. Si nécessaire, vous serez adressé à un psychologue ou un psychiatre, et une thérapie ou un traitement médicamenteux pourront être prescrits.
- La meilleure arme reste la prévention ! Il est important de soigner son hygiène de vie : alimentation de qualité, sommeil en quantité suffisante, pratique d’une activité physique, maintien de liens sociaux et si besoin, pratique de la méditation et de la relaxation pour lutter contre le stress. N’hésitez pas à en parler autour de vous.
Près de 1 étudiant sur 5 serait en burnout ! A bien distinguer d’une fatigue ou d’un stress passager, le burnout est un syndrome qui dure dans le temps et qui peut se manifester par une vision négative de ses études ou un sentiment de perte de sens liée à sa vie.
Ne restez pas seuls et n’hésitez pas à contacter une association comme Vétos Entraide.
La rédaction
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